Au lendemain du vote par les sénateurs du texte visant à inscrire l’IVG dans la Constitution, les évêques de France font part de leur « tristesse » dans un communiqué daté du 29 février, et rappelle notamment que l’avortement « demeure une atteinte à la vie en son commencement ». Photo Drsuparna
Les évêques français regrettent que le débat se soit réduit au seul angle du droit des femmes et n’ait pas évoqué les dispositifs « d’aide à celles et ceux qui voudraient garder leur enfant ». Ce mercredi 28 février, 267 sénateurs sur 317 ont voté le projet de réforme constitutionnelle dans les mêmes termes qu’à l’Assemblée nationale. 50 sénateurs se sont opposés au texte, qui sera définitivement adopté le lundi 4 mars lors d’un congrès convoqué à Versailles.